Poker Power propose de partir à la découverte du jeu "small-ball" avec Daniel Negreanu, après une première partie rédigée par 5 autres professionnels (Evelyn Ng,, Todd Brunson, Erick Lindgren, Paul Wasicka et David Williams) livrant astuces et stratégies pour différents types de parties de No-Limit Hold'em.
Evelyn Ng hérite de la partie « débutants » : Tournois de Hold'em No-Limit : Stratégie pour joueurs novices. Cette mise en bouche expose une stratégie se voulant simple et efficace pour le jeu pré-flop (à savoir le montant des relances, la sélection des mains), le jeu au flop (selon ce que vous touchez), à la turn et à la river.
Todd Brunson est à la tête de la deuxième partie , ce chapitre passe en revue les concepts importants pour réussir dans ce type de poker : combien se caver, trouver son style, les différents profils de joueurs et comment les appréhender, un passage sur le bluff et le semi-bluff, les value-bets, les pièges, et quelques réflexions sur le tilt et les grosses parties.
Erick Lindgren ( 23 places payées WSOP dont 1 bracelet en 2008, 2 titres WPT) s'attaque au No-Limit Hold'em en ligne. Quels sont ses avantages, l'importance de l'évaluation des adversaires, les modèles de mise, les stratégies de buy-in.
Quelques tactiques en tournois viennent finaliser ce chapitre censé vous aider à rentabiliser votre jeu sur Internet.
La partie suivante sur Le cash-games short-handed (5 ou 6 joueurs) est rédigée par Paul Wasicka (6 places payées WSOP dont une 2ème place du Main Event en 2006, 6 places payées WPT). Ces quelques conseils en vrac et stratégies de jeu et réactions face à l'adversité manquent un peu de poids
David Williams (17 places payées WSOP dont 1 bracelet en 2006 et une 2ème place du Main Event en 2004) vient réveiller son monde dans une passionnante cinquième partie) : Varier (intelligemment) son jeu.
Le jeune américain expose un pan de jeu qui a notoirement fait son succès, en nous aidant ainsi à comprendre son raisonnement. Quelques réflexions sur les mains "poubelles" ou sur les moves viendront terminer de nous aider à voir un peu plus clair dans ce qui se trame dans la tête d'un joueur en apparence un peu fou.
Daniel Negreanu (43 places payées WSOP, 4 bracelets (1998, 2003, 2004, 2008), 2 titres WPT, 12,5 millions de $ de gains) vient conclure les débats avec le plus gros du menu consacré au jeu dit "Small-ball",.
Le terme est à rapprocher du tennis : pour schématiser, la stratégie small-ball est une stratégie qui consiste à faire de petites mises et relances plutôt que des grosses, dans l'optique de mieux contrôler les débats, troubler ses adversaires, tout en se montrant très actif et en risquant moins.
Au tennis, les balles courtes viennent œuvrer comme moyen de varier son jeu, par opposition aux balles longues de fond de court, d'où ce terme small-ball.
Le canadien reprend les paramètres habituels du Hold'em (mains de départ, jeu pré-flop, à la turn, à la river - même si le "small ball" fonctionne mieux si le jeu n'en arrive pas jusque là), pour les réétudier selon les spécificités stratégiques inhérentes à ce mode de jeu.
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